Small world [Tyler Mashall]-Sujet Terminé

Ce sentiment de solitude, qui m'envahit, ne pas être malade, alors que tous les êtres qui nous entourent le sont. Comment ne pas se sentir, différent. Etant consciente de mes actes, je décidai, de rendre visite à une amie qui elle est dans le coma, l'injuste dans ce monde est affolante, pour elle et pas moi ?

Il était neuf heures, je décidai de passer la voir, je montai dans la voiture et me dirigea vers l'hôpital, non loin de la maison. Quelques minutes plus tard, j'étais arrivé sur le parking, si minuscule que ma voiture prenait au moins deux places. J'entrai dans cet endroit, froid, blanc, silencieux et cette odeur qui glace le sang. J'étais perdus je me rendais rarement dans un hôpital, alors je me rendis directement à l'accueil et demanda à la jolie jeune femme, ou était le service de mon amie, elle m'indiqua la direction, alors sans attendre je commençai à circuler, dans ces couloirs, tous pareil, mur peint en blanc avec une bande rose violet, qui ne rend pas forcément plus gay ces nombreux couloirs, qui sans le vouloir, aspire la tristesse.
Elle était dans la Chambre 114, je progressai en direction de la chambre, 112, 113.. Ca y est j'y étais, devais-je vraiment y aller, voilà que devant la porte je voulais repartir. Mais je m'entendais tellement bien avec que je ne pouvais l'abandonner, bien qu'elle ne soit pas présente moralement pour me le reprocher. Alors, je posai ma petite main sur cette clenche qui avait été touchée par de nombreuse personnes, tous différent les un que les autres. Et je baissai la clenche puis ouvrit la porte. Dans la chambre se trouvait, mon amie, allongé sur le lit, sans force, fixe et j'étais totalement impuissante devant son état. Je n'étais pas seule à vouloir soutenir la belle, son amie Tyler Marshall était là. Je refermai la porte doucement, le jeune homme dormait et je ne voulai le réveiller, pour pouvoir lui parler sans dérangement. Je m'approchai du lit fit la bise sur sa joue rosée. Je lui dis :
"-Bonjour la belle ! "
A ce moment-ci, le jeune homme se réveilla et me fit un signe de la main alors je lui répondis :
"-Bonjour, je suis Nina Sanders. Bonne amie de votre femme."

Le fait d'être seule à ne pas être folle, violente, ou avec des pouvoirs qui se réalisent dans les films de sciences fiction seulement, me fait peur, mais aussi me Valorise vis-à-vis des autres. Mon corps est peut-être plus résistant.. Je suis dans l'incompréhension totale, je ne me connais plus, face aux autres.

Ceci dit, je n'oubliais pas mes amies, dont beaucoup étés, fous et violents, alors je devais les soutenir et peut-être les aider. Je devais me rendre à l'hôpital, pour être aux côtés de mon amie et ça y est j'y étais, j'étais dans la chambre, mur peint en blanc, lit au milieu, siège et une table ou était posée plusieurs bouquets de fleurs. Je n'en avais pas amené, elle n'a pas forcément besoin de fleur, juste de présence, la présence de ses amies surtout.

J'étais en compagnie de son mari. Qui était là, apparemment depuis un moment, il dormait lorsque je suis arrivé ! Il avait l'air très fatigué je ne voulais pas trop l'embêter. Il m'affirma que ma visite faisait plaisir à sa femme. Je ne pouvais deviner si ce qu'il disait été vrai ou juste par politesse. Quoi qu'il en soit je lui répondis :

-Contente que ça lui fasse plaisir, je suis là pour ça aussi.

Il se leva alors je me rapprochai encore plus d'elle et m'achemina vers le siège qui était libre. Le jeune homme lui s'approcha de la fenêtre. Et il commença à me demander depuis quand je la connaissais. Alors, je lui répondis :

-Je la connais depuis quelques années maintenant nous nous étions rencontrés lors d'une soirée ou chacune de nous ne connaissez personnes, alors nous avons fait connaissance et nous n'avons pas perdue contacte. Elle m'avait déjà parlé de vous.

Je pris la main de la Jennyfer. Je ne voulais pas trop parler, étant donné qu'il était là, j'étais assez gênée. Alors, je lui demandai :

-Vous êtes là depuis longtemps ? Si vous voulez faire une pause ou aller boire ? Sans vouloir vous virer !

Nina & Tyler ♥



Je ne supporte pas ce qu'il m'arrive, je ne supporte pas ressentir tous les sentiments des gens, c'est réellement quelque chose qui me répugne. J'ai l'impression de les violer, de rentrer en eux alors que je n'y suis pas invité. Surtout qu'ici je sens, en Nina, les questions qui la taraude. Je sais que je dois paraitre bizarre à dire ce que pense ma femme, mais ce n'est nullement ma faute si je le ressens! En même temps, malgré ce malaise que je supporte de plus en plus mal, je suis heureux de ressentir cette sensation de bien être en Jennyfer. Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête, je ne sais pas ce que je lui aie fait mais elle semble de plus en plus ressentir de l’indifférence à mon égard! Je n'aime pas du tout ressentir cela chez elle, moi, qui l'aime plus que ma propre vie, cela fait mal!

Je me contente de lui sourire à la phrase sur la raison de sa venue. Je ne sais pas trop quoi lui dire alors que je me sens coupable de tout ce qui nous arrive. Pourquoi? Alors que je n'y comprend rien moi même? Je ne sais pas! Je sais juste que si elle m'en veux, si elle voit en moi un vulgaire criminel c'est que j'ai du lui faire quelque chose. Mais quoi? Lorsque je suis parti de la maison, Jen' était heureuse de la nouvelle, de la plus belle nouvelle de notre vie. Elle était enceinte! Je lève alors le regard vers son amie et me demande si elle est au courant, si elle sait que son amie attend un heureux évènement. Je me lève et vais vers la fenêtre, je tente par là de faire partir ses sensations qui me rongent, j'essaye de faire le vide en moi. Mais cela semble impossible! Je suis contraint de ressentir tout ce que cette jeune femme ressens vis à vis de moi et de ma femme.

Elles se sont rencontrées lors d'une soirée, il y a de cela quelques années. Mais voilà qu'elle me dit que Jen' lui a déjà parlé de moi. Même si je m'en doutais, j'aimerais savoir ce qu'elle disait. Pourquoi? Parce que je ne comprends pas ses réactions, ou plutôt ses sentiments. En arrivant ici, ils étaient vrais, beaux, elle semblait m'aimer et me supplier plus que tout. Et aujourd'hui, plus rien de tout cela. Que lui passe-t-il par la tête? " J'espère qu'elle parlait de moi en bien!?! " Mais voilà que prenant la main de ma femme, je sentis pire que ce regard sur moi, pire que tous les mots, l'impression d'être de trop. Je le sais car elle semble se taire pour moi. Je sais, ou plutôt je crois, que c'est juste par pudeur, mais je n'en peux plus, j'aimerais que cette petite voix dans ma tête se taise. J'aimerais que cette foutue... Cette foutue quoi d'ailleurs? Maladie, folie??? Enfin soit que cela s'arrête, je ne peux plus ressentir ce que les autres ressente. Ce n'est pas toujours beau beau et je ne le supporterai pas très longtemps! Mais je me tais là dessus, je répond juste à sa question: " Cela fait maintenant une semaine que je ne quitte quasi pas son chevet. Je veux être là à son réveil. "

Mais plus cela passait et plus, je me sentais de trop dans cette pièce. J'avais l'impression d'étouffer, de bruler. Je me dépèchais donc de m'approcher de la chaise à l'autre bout de la pièce, celle où j'étais endormi juste avant l'arrivée de Nina et je lui dis prenant ma veste sur le dossier Vous avez raison, j'ai besoin de boire un café bien chaud, j'ai besoin de sortir un peu prendre l'air aussi. Je vous ramène une tasse? Je la regardais dans les yeux, attendant la réponse avant de la laisser seule avec ma femme, toujours inerte et sans vie sur ce lit! Je me décidais même à aller voir le toubib pour qu'il m'en dise plus!

Ce sentiment était surement le plus affreux. Moi, complètement "Normale", sans pouvoir, le sourire aux lèvres, marchant, bougeant, et Jen, mon amie, endormit sur ce lit, sans vie, sans activité, et le pire de cela était le fait, que j'étais impuissante devant elle. Je ne pouvais lui dire : "Réveille toi ! Parle moi, ouvre tes yeux ! " Moi qui n'avait même pas le pouvoir de guérir les gens.

Je me demandais si son compagnon Tyler, avait des pouvoirs, peut-être pouvait il faire quelque chose, lui aussi est victime de ce foutu chaos qui nous à tous gâchés la vie, même moi, bien que je ne sois pas atteint, la solitude m'avait envahie et je ne pouvais rien y faire.

J'étais assise sur cette chaise, ou était endormit il n'y a pas si longtemps Tyler. Main dans la main avec Jennyfer, je venait de dire à celui-ci que sa femme me parlait souvent de lui alors bien sur il me demanda si c'était en bien alors je lui dis : "-Oui, c'était en bien, votre femme me disez souvent qu'elle vous aimez, que vous étiez pour la vie son homme. " dis-je avec un petit sourire rassurant celui-ci qui n'avait pas l'air confiant. Puis je lui dis d'aller prendre l'air, il était là depuis des jours, et sortir ne pouvait pas lui faire de mal, alors il me dit que j'avais raison et s'absenta tout en demanda si je souhaitais une tasse, alors avec politesse je lui répondis:
"Ce sera avec plaisir s'il vous plaît. Merci ! "
Quelques minutes plus il déguerpit, et j'étais seul avec elle alors je lui dis tout ce que je pouvais lui dire même se qui sembler inaccessible : "-Jennyfer, réveille toi s'il te plaît ! Je t'en pris, tu nous manques beaucoup et à ton marie encore plus ! Nous avons besoin de toi, surtout dans ce chaos !
Je ne pouvais sortir un mot de ma bouche, les larmes avait envie mes yeux et la parole, ce n'était pas l'amie la plus proche, mais une des seule à qui je pouvais encore parler, les autres ne m'écoutaient pas...!
J'entendis la porte je pensais que c'était Tyler, donc j'essayai de séchais mes larmes pour essayer de ne pas faire voir mon désaroit, mais au moment ou la porte s'ouvrit, c'était une infirmière qui apportait les médicaments, mais elle repartit quelques secondes après.
Je ne pouvais plus contenir mes larmes, je pense que les évènements qui c'était passé s'était accumulé et j'avais besoin d'exploser ! Mais malheureusement Tyler arriva et vus mes larmes coulait sur mes joues rosées !

Nina & Tyler ♥



Tout se passait trop rapidement et je ne comprenais pas grand chose à ce qui m'arrivait. Mon toubib, la seule personne à qui j'en aie parlé, ne comprends pas et ne sait même pas me dire si c'est permanent. Et je ne sais pas comment je dois prendre ce que je sais faire. Est-ce un don? Est-ce un supplice? Car il faut bien le dire, vu la situation actuelle dans cette ville, ce n’est pas toujours facile de ressentir les sentiments ou ressentiments des gens qui t'entourent. Et je n'ai aucuns moyens de contrôler ceci et cela me stresse énormément. J'ai l'impression que je vais exploser, que tous ce trop plein de sentiments va me faire exploser de l'intérieur. Je bouillonne, j'aimerais tellement ne plus rien ressentir, ne plus rien comprendre des autres.

Le pire dans tout cela s'est tous ses sentiments qui se mélangent en ma femme. Son coeur est plein de joie et de bonheur lorsque son amie rentre dans la pièce. Mais glacial lorsque je suis seul, là, avec elle. J'ai toujours aimé, admiré et respecter Jennyfer, elle m'a toujours tant apporté et j'essayais tant bien que mal de faire pareil. Alors pourquoi aujourd'hui tout semble différent? Pourquoi aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est de la haine qu'elle ressent envers moi? Je ne comprends rien à cette situation et cela me torture....

Même si je meurs d'envie de rester dans cette pièce, d'attendre le moindre signe encourageant de la part de ma femme, je me décide à sortir un peu. Prendre l'air ne pourra que me faire du bien et en plus de cela, je ne me sens pas à ma place ni désirer dans cette chambre. Je préfère donc partir fumer une cigarette et me chercher un café. Ou plutôt nous chercher un café.

Je sors, prenant une grande bouffée d'air, en arrivant devant la grande entrée de l’hôpital. Je reste tout d'abord un instant ainsi à regarder les gens qui entrent et sortent de cet endroit. Tentant vainement de ne rien ressentir, pourtant chaque fois, tout me revient en pleine face: bonheur, tristesse, peur, ... Je ressens tout même de la culpabilité chez certaines personnes. Mais le pire, je crois c'est la violence. Certaines personnes passant autour de moi, sont rongées par la violence. L'envie de faire mal, de voir souffrir les autres. C'est horrible comme sensation. Je me décide donc à prendre une cigarette dans ma poche, la fume à mon aise avant d'aller nous chercher deux cafés noirs car je ne sais pas comment l'aime l'amie de ma femme.

Lorsque je reviens dans la chambre, le sentiment qui me submerge d'un coup est vraiment insoutenable. Je ressens un mélange de solitude, de tristesse et d'incompréhension. Je me sens mal, mon cœur se serre et j'ai une irrépressible envie de pleurer, de lâcher tout ce qu'il me reste de larmes. Mais je me retient, je tente de ne pas verser une seule larme autant par orgueil que par défit... Mais lorsque mon regard se pose sur Nina, je remarque rapidement les larmes sur ses joues, ses yeux bouffis, ... Je sais qu'elle a peur pour ma femme, je le ressens mais pourquoi de la solitude. Une jeune femme aussi jolie qu'elle ne devrait pas ressentir cela, elle est surement entourée alors pourquoi ce sentiment? Que faire? Que dire? Dans cette situation tout est délicat... Je dépose les deux cafés sur la table, ce que je viens de ressentir m'a totalement coupé l'envie d'un café. Pourtant je sais très éperdument que cela serait bon pour moi.

Plutôt que de la consoler, je lui demande " Vous êtes au courant pour le bébé? ". Je ne sais pas pourquoi je lui dis cela, je ne sais vraiment pas car Jen' et moi, nous avions pourtant décider de le garder pour nous deux. Mais là, c'est trop! C'est la seule phrase qui a bien voulu passer le barrage de mes lèvres. Je m'approche de ma femme, je lui prend la main et vient lui dire à l'oreille, tout bas " Désolé, je ne me sentais pas le courage de garder ceci pour moi! " Elle avait accepté que je le dise à mon cousin, nous connaissant proches mais à personne d'autre. Vu ce que pensais la jeune femme assise de l'autre côté du lit, elle n'était au courant de rien.

Mais à ce moment là, dans le couloir, long, immense et froid, une civière passa. La personne dessus criait, se débattait pour en ressortir. Des médecins étaient autour et des policiers suivaient. Je ressentir à nouveau cette violence, cette envie de tuer, ... Je me retourne alors vers la jeune femme et je lui demande " Je ne regarde pas la télévision depuis que je suis ici, au chevet de Jen'. Ils en savent plus sur ce qu'il s'est passé? Ils comprennent la situation? Ou ils sont toujours aussi perdu? ".

Je pleurais toutes les larmes que je pouvais, je ne pouvais m'en empêcher, elle n'allait pas le dire elle, contrairement à ma famille, heureusement qu'ils étaient là eux. Mon homme n'était pas malade non plus, nous nous soutenions, car comment dire nous n'étions pas nombreux dans ce cas et donc la solitude se faisait sentir, je me lâchait, j'avais besoin de me lâcher. Mais Tyler entra dans la chambre à ce moment ci et vu mes larmes alors j'essayai de sourire et essuyer mes larmes en vitesse, mais c'était trop tard. Il ne dit aucune remarque mais je savais ce qu'il pensait au fond.

Il s'approcha du siège et se mis derrière moi. Et me demanda si j'étais au courant pour le bébé, je réfléchissa bien en passant ma main dans mes cheveux je répondis:

-Jennyfer ne m'avait pas mis au courant, mais maintenant je le sais. Elle l'est depuis combien de moi.

Dis-je avec un petit sourire en coin en regardant son petit ventre qui était effectivement un peu arrondis ça ne devait pas faire trop longtemps qu'elle était enceinte, j'espèrais encore plus qu'elle se réveille pour l'aider et surtout qu'elle puisse élever son enfant, je sais ce que sait, c'est la plus belle chose au monde surtout quand notre enfant nous dit qu'il nous aime . Après que je lui répondis ça il s'approcha de Jen et lui fis un petit mos à l'oreille. Je me demandais ce qu'il disait. Mais je me doutais un peu en tous cas je retourna la tête, pour ne pas qu'il pense que j'écoutais leur conversation, ce que je ne faisais pas.
Nous étions vraiment d'un un chaos totale, les gens qui entraient dans cette hôpital étaient en général dans un très mouvais état, ou alors ils étaient complètement fou. Et nous nous étions là impuissant sans pouvoir les aider n'y leur parler, car ces gens là en général n'acceptaient pas trop de nous écouter !
Puis Tyler me demanda si ils en savaient plus sur ce qui c'était passé ! Alors je lui répondis:

-Je ne peux pas dire que je regarde plus la télévision en ce moment cela me déprime. Mais sur ce que j'ai pus entendre ils ont trouvé quelques trucs, mais ils sont encore perdus et ne savent pas encore d'où ça vient réellement !

Mais allons nous le savoir vraiment ! En tous cas j'espèrais que tous cela allait redevenir normale car je vivais la pire période de ma vie. Au moins ce qui sont fou ne s'en rende pas vraiment compte. Ils en ont de la chance..

Le monde qui nous entourait à Perth aujourd'hui était affreux, la vie n'était plus ce qu'elle était. Nous étions complètement fou, et nous avions de pouvoirs assez extraordinaire, certains de nos amies étaient à l'hopital ou au cimetière alors quand on apprends qu'une de nos amies bien qu'elle soit dans le coma, donnait la vie en elle. C'était une des plus belles nouvelles du jours, elles n'étaient pas bonne, pas très dur de les dépasser !

Cependant, elle était toujours loin nous mentalement et cette distance nous causé de la peine à Tyler et moi. Pitié qu'elle revienne vite, que je lui dise félicitation, que je l'aide pour le bébé et qu'elle vive cette merveilleuse période qui est la grossesse. J'avais peur qu'elle ne reste dans ce coma et que n'y le bébé n'y elle ne survive a cette épreuve.

En attendant Tyler faisait la conversation, heureusement, car moi je n'en avais franchement pas le courage..Le larmes m'envahissaient et ne cessaient de venir chambouler. Il me demanda si j'avais des pouvoirs comme tous ces gens qui nous entouraient je faisais partie des personnes étrange par rapport aux autres et pourtant nous étions les plus normaux alors après quelques secondes, le temps que je reprennes ma respiration je lui répondis : " Et bien je n'ai aucun pouvoir, je suis ceux qui sont miraculé de ce chaos ! " Je me doutais qu'il allait être surpris.

Mais a ce moment là un medecin rentra dans la chambre, ils "admiraient" Jennyfer et ce demandaient surement quand allait elle se réveiller, bizarrement Tyler rigola, je me demanda pourquoi mais ne chercha pas je me dis que c'était surement les nerfs, les médecins faisait quelques examens et au même moment. Tyler me dit qu'heureusement que j'étais là. alors je lui répondis : " Ce n'est pas avec plaisir c'est juste normale j'aimais beaucoup Jen. "
Je regarda ensuite la jeune fille allongeait sur ce lit sans mouvement et demande a Ty' :
"-Voulez vous qu'on aille manger quelques choses il est midi, et ca vous ferait du bien, et les médecins sont là elle ne se réveillera pas seule" Je luis dis ça tout en regardant les médecins qui me fit un signe de tête signifiant Oui !

Ce Chaos qui s'était installé dans la charmante ville qui est Perth, avait perturbé tous le monde, entre ceux qui étaient immunisés,ceux qui ont des pouvoirs qui savent les contrôler, et ceux qui deviennent fou, la vie était devenu invivable.Nina avait eu la force d'avouait à Tyler, qu'elle n'était pas contaminé une chose qu'elle n'avait encore dit a personne a part son mari qui est dans le même cas qu'elle, cette annonce avait fait que Tyler avait avoué son pouvoir a Nina, lu,i faisait partit de la majorité de personnes, il avaient été contaminé. Nina sentait que Tyler était gênée d'avoir avouée ceci, mais Nina comprenait, ce qu'elle ne comprenait c'était ce qu'il se passait en elle, contrairement à elle lui était comme les autres, avec un pouvoir, elle, était différente, elle avait même peur, se dire qu'elle n'aurait aucune défense si on voulait l'attaquer comme on l'avait fait a Jennyfer. Tyler venait de lui dire qu'elle avait de la chance. Mais quand on seule elle n'appelait pas ça comme ça alors elle lui dit :

-Je me sens très seule, je ne comprends pas trop ceux qui ont des pouvoirs, et si l'ont m'attaque que dois-je faire j'ai peur !! Je ne peux pas dire que j'ai de la chance, malheureusement...!

Elle se disait qu'il pouvait sentir ce qu'elle ressentait et cela lui faisait bizarre,elle n'arrivait plus vraiment a penser.. Mais elle ne pouvait s'en empêcher.
L'atmosphère était lourde, chacun des deux étaient complètement désarssoné devant Jen, encore endormit sur ce lit sans bouger d'un poil, ils étaient impuissants, et resté ici ne servait a rien, donc elle proposa à Tyler de venir manger un morceau vite fait dans un restaurant du coin, il accepta bien vite sa proposition après refléxion,il fis un bisous sur la joue de sa femme, pris son menteau et pris la porte, elle fit elle aussi un bisous sur la main de Jen lui dit "A très bientôt" pris son sac et le suivis elle lui demanda :

-Tu veux aller ou ?

H-S: Désolée je n'ai plus trop d'inspi...!