Someone asked for a photo ? ~ Lucas Ennis Miller

Lucas Ennis Miller
feat. Jared Leto

Me, me and always me

Je naquis un beau jour de décembre. Plus exactement, le 26 décembre 1977 à Minneapolis. Je suis bourré(e) de défauts, par exemple, je suis obstiné, rancunier & maniaque. Mais je peux également être sincère, loyal & ... protecteur (un peu trop aux dires de certaines personnes)! Vous voulez en savoir un peu plus sur moi? Bah c'est simple, voici quelques petites anecdotes: quand j'avais six ans, quelqu'un avait eu la bonne idée de laisser la fenêtre de ma chambre, située au deuxième étage, je précise, grande ouverte. Mon abruti de demeuré de cousin qui m'appelle de dehors... Je me penche et... Je crois que j'ai jamais autant souffert de toute ma vie. Résultat, je déteste les hauteurs et les fenêtres ouvertes.... Maintenant si vous voulez en savoir encore plus, venez poster avec moi!!!

33 ans - Américain Hétérosexuel- Peut revenir une à deux heures en arrière - I'm contaminated, so what ? Ok by Nina « Pourquoi tombe-t-on ? -Pour apprendre à mieux se relever » Batman Begins -Lucas, tu ne t'approches pas de la fenêtre, compris ? -Oui maman ! Tu parles ! Depuis quand les enfants écoutent-ils leurs parents, rappelez-moi ? Je ne faisais pas exception à la règle. Surtout à cet âge où on veut découvrir la vie. Personnellement, j'ai plutôt failli découvrir la mort, ouais ! J'avais six ans. Un gosse tout ce qu'il y a de plus normal, en réalité. Ce qui inclut une curiosité maladive doublée d'une inconscience proche de la bêtise. C'est d'ailleurs ce qui a causé mon accident... Mon cousin habitait près de chez moi. Un type sympa, pour autant que je me souvienne. Je n'ai plus de contact avec lui, mais j'ai quand même gardé de bons souvenirs. Il avait quatre ans de plus moi. Enfin, il les a toujours, techniquement... En fait, nos jardins se touchaient. Il habitait derrière chez mes parents. Un jour, il m'a appelé depuis son jardin. Comme je ne le voyais pas, je suis monté sur une chaise et me suis penché par la fenêtre. Quand je vous dis que quand on est gosse, on est idiot ! J'ai basculé, à trop me pencher, et me suis retrouvé par terre. Je peux vous garantir que je faisais pas le malin. J'ai jamais eu aussi mal de toute ma vie. Et ma mère qui me hurlait dessus comme quoi elle m'avait bien dit de ne pas m'approcher de la fenêtre. Sérieusement, à ce moment-là, c'était le cadet de mes soucis, la fenêtre. Ce qui comptait, c'était qu'on trouve un moyen de faire en sorte que j'arrête de souffrir ! On m'a emmené à l'hôpital, j'ai subi un nombre incalculable de tests et finalement, il s'est avéré que rien n'avait été touché. J'avais bien une jambe dans le plâtre et un choc au niveau de la colonne vertébrale, mais rien de foncièrement dangereux. En tout cas, je n'ai pas fini en fauteuil roulant, ni en légume ! Résultat, vingt-sept ans plus tard, je vais très bien... hormis que j'ai une peur bleue de la hauteur et des fenêtres ouvertes. « Le véritable esprit de révolte consiste à exiger le bonheur ici, dans la vie. » Henrik Ibsen -Photographe ? Mais ce n'est pas un métier, ça, fils ! Ça, c'est la réaction de mon père, Michael Miller, quand je lui ai annoncé que je voulais devenir photographe. Pour vous remettre dans le contexte, mon père est un brillant avocat, le genre d'homme à qui tout réussit, et surtout, qui a une renommée et des relations. Mon père, donc. Le genre d'homme qui a un besoin maladif de tout contrôler, jusqu'à l'avenir de ses enfants. J'en suis la preuve vivante. Moi, je voulais faire photographe. Depuis que je suis gosse, je suis passionné par les photos. Aujourd'hui, c'est toujours le cas, mais revenons au passé. Pour mon père, les seules carrières acceptables étaient celles de médecin, d'avocat et de politicien. Autrement dit, être confiné soit derrière un bureau, soit dans un bloc opératoire. Vraiment pas mon truc. Moi, je voulais faire de la photo (vous l'aurez compris, je crois). Et j'ai eu beau lutter, râler, menacer, briser du matériel, arrêter de bosser au lycée, ça n'a pas servi à grand-chose. Je devais faire comme lui : avocat. Quand je suis sorti du lycée, j'ai abandonné la lutte. Plus pour avoir la paix que par réelle conviction, j'avoue. Le droit, c'est un truc... compliqué. Sérieusement. On vous parle de doctrine, de principes qui ne sont pas appliqués, de règles qui se contredisent toutes seules, de revirements jurisprudentiels et j'en passe et des meilleurs. Je m'ennuyais à crever. Pourtant, je bossais. Je dirais pas que j'étais bon, mais disons que je m'en sortais. Mais ça me plaisait pas. Je savais que je pourrais pas m'occuper de gérer des différends entre voisins toute ma vie. Alors j'ai tout plaqué. À vingt ans, j'ai quitté l'université et je me suis cassé. Loin. Enfin, pas si loin que ça, en réalité, mais suffisamment loin pour lui échapper. Je suis devenu la brebis galeuse de la famille. Le modèle à ne surtout pas suivre. Je suis presque certain que pour ceux qui ont suivi, les parents ont dû sortir des trucs du genre « Ne fais pas comme Lucas ! Regarde, il voulait devenir artiste. C'est pas un métier, artiste ! » Sauf que moi, je les... hein, voilà, pas la peine de vous faire un dessin. Artiste, c'est un métier, et à plein temps. Et au moins, moi, je fais un truc qui me plaît. « On conquiert à force de persévérance. » George Matheson Y'a des jours où on tombe sur des gens dont on ignore tout, mais dont on est certain qu'ils sont faits pour évoluer à nos côtés. Ça peut paraître étrange, dit comme ça, mais c'est comme ça que je le ressens, en règle générale. C'est comme ça que je l'ai ressenti, aussi, avec Susie. Susie, c'est ma femme. Enfin, aujourd'hui, c'est ma femme. Jusqu'à il y a cinq ans, c'était une parfaite inconnue. Jusqu'à ce fameux jour, dans le bus. J'avais un shooting à 10h, et je m'étais levé à... 9h18. Autrement dit, j'étais à la méga bourre. Et j'ai failli rater le bus. En fait, il était à l'arrêt lorsque je suis sorti de l'immeuble. J'ai cavalé pour l'attraper. J'ai eu de la chance, le chauffeur était sympa : il a attendu que je sois monté pour redémarrer. Je peux vous garantir que quand je le revois, je suis du genre poli, avec. Bref, je vais pas m'étendre sur mon retard, c'est pas ça le plus important. Non, ce qui m'a marqué, ce jour-là, c'était la jeune femme blonde, qui se tenait près de la fenêtre. Elle était jolie. Très jolie, même. Sauf qu'il y avait un hic : j'étais pas, mais alors pas du tout l'âme d'un séducteur ! J'en étais réduit à la dévorer du regard. Sauf que je crois que le destin m'a écouté : le bus est tombé en panne. Alors qu'il était à un arrêt, il refusait de redémarrer ! C'était ma chance, c'était ma chance ! On est resté bien une demi-heure, immobilisés dans le bus. La compagnie ne pouvait pas en envoyer en remplacement parce que tous les bus étaient en service. Bref, j'étais fin heureux. Tant pis pour mon shooting, c'était le cadet de mes soucis ! Je l'ai abordée. Timidement, à vrai dire. Mais je l'ai tout de même abordée. En même temps, on ne savait pas quand est-ce qu'on aurait (enfin) un bus, alors j'estimais avoir tout mon temps... Sauf qu'elle m'a envoyé bouler, purement et simplement. Ouais. Elle m'a envoyé bouler. Sauf qu'il y avait un petit détail qu'elle ignorait : je suis du genre buté et obstiné. Je crois que j'ai jamais été autant buté et obstiné que pour lui arracher un sourire. Croyez-moi, ça n'a pas été facile. Mais alors, vraiment pas. Pourtant, à force de persévérance, j'ai fini par obtenir un sourire. C'est pas grand-chose, je sais, mais vu comment j'avais galéré à l'obtenir, je peux vous garantir que je l'ai savouré, ce sourire ! Par je ne sais quel miracle, j'ai fini par obtenir son numéro de téléphone. Bon, ok, j'avoue, je pense qu'à ce moment-là, elle me l'avait sans doute donné plus pour que je lui fiche la paix qu'autre chose, mais elle me l'avait tout de même donné. On s'est revu, ciné, resto, tout ça tout ça. Et aujourd'hui ? Eh bien aujourd'hui, ça fait deux ans qu'on est marié. Surprenant ? Pas tellement, quand on sait que je ne lâche jamais. Si je veux quelque chose, alors je fais tout pour l'obtenir. Pour le coup, ça a plutôt bien marché ! « Toute maladie est une confession par le corps. » Oskar Wadyslaw de Lubicz Milosz -PUTAAAAIIIIIN !!!! Ca, c'est moi qui vient de casser un vase. Et pas n'importe quel vase, s'il vous plaît, juste un de ceux que Susie affectionne tout particulièrement. Un souvenir ou un cadeau, je me rappelle plus très bien... Mais là n'est pas le plus important... Le fait est que je vais littéralement me faire suicider avec une petite cuillère, une feuille d'essuie-tout et un bout de carton... En gros, je suis dedans jusqu'au cou. Je réfléchis, inspire un bon coup, avant de me rendre à l'évidence... A moins d'être capable de remonter le temps, je suis foutu de chez foutu ascendant foutu... Sauf que, bah voilà, le truc, c'est que c'est humainement impossible de remonter le temps... Sinon, croyez-moi que je l'aurais déjà fait une paire de fois... Hum... Je me laisse tomber dans le canapé, tentant de trouver une solution. Bon sang, il doit bien y avoir un moyen, non ? Je ferme les yeux, pour me concentrer... et les rouvre alors que je suis debout, devant le vase... INTACT ???!!! Oulah, soit y'a une couille dans le pâté, soit.. soit.. soit je perds complètement la boule !!! Je jette un coup d'oeil à l'horloge... Il était vers la demie quand j'ai pété le vase... et là il est et quart.. C'est quoi le délire ??? Bordel, mais qu'est-ce qui m'arrive ???

My real life

Coucou, c'moi que v'là ! Quoi, comment ça "Qui, moi ?" Mais MOI, pardi ! Camille de mon prénom (mais je l'aime pas, ce prénom, donc appelez-moi Lidwine n_n), nana complètement barrée, syphonnée, un brin schizo, à ses heures perdues (hum) et surtout, fanatique de l'écriture. Bon, petite précision, j'suis en deuxième année de droit, donc il se pourrait, notamment en période d'examen, que je sois absente par moments, mais c'pas ma faute, c'celle des profs >.<
Sinon, comment ai-je connu ce forum... Beh, par une des co-fondatrices ! Qui a un autre canon comme avatar, ce qui est une pure injure à la normalité de ce monde u_u
Voilà, j'arrête de me répandre... Au revoir les gens moi faut que j'aille... euh... CHANGER DE FOND D'ECRAN